Sixième séance de l'année 2013 - 2014.
Première partie : Oscillation, flux et reflux. Enthousiasme, la puissance n'est pas perçue comme séparée. Superstition, séparation. Le rite vient remplir le vide. Doute, incertitude, crainte. Clivage, puissances séparées images du fantasme, chargées d'infini. Incertitude personnifiée. Lier les événements pour les conjurer. Autodestruction de l'esprit livré à lui-même. Superstition, doute, terreur. Enthousiasme, confiance, conviction.
Deuxième partie : Fanatisme. La vie religieuse oscille entre deux pôles: polythéisme-superstition et monothéisme-enthousiasme. L'idée de religion naturelle. Le fond de la religion est superstitieux et fanatique. Transfert. L'animation spirituelle du réel. N'importe quelle affection humaine peut nous conduire à la notion d'une puissance invisible, séparée et dotée d'intention. Elle produit spontanément du divin.
Troisième partie : Il faut que le monde demeure signifiant. Spectateurs d'un théâtre d'illusions, dont nous ignorons les causes véritables. Le geste animiste, transfert de signification aux événements. La forme spontanée de la vie religieuse est le polythéisme, qui est la forme la plus adaptée au chaos. Désordre, incertitude, perplexité. Une expérience de la croyance en continuité avec le doute. Le monothéisme prolongement du polythéisme. Les passions moyen d'accès au divin. Fétiche, idole, objet de croyance. Oscillation entre croyance sans objet et croyance objectale. L'univers païen formalise le désordre (bricolage permanent.) Le monothéisme s'appuie sur l'idée de toute-puissance (exigence d'unité).
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